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Je pense qu'il faut de tout pour faire un monde mais je préfère de loin les maquettes ou les dioramas qui traittent de sujet plus humouristiques, même sur le plan historique, on peut le traiter avec humour, car même dans un conflit, quelqu'il soit, il y a des momments de "relachement" ou les protagonistes se détendent un peu et ces momments là sont plus sympas à faire en diorama, ceci est mon avis et n'engage que moi...
@+Gilles...
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| | Quepwik a écrit :
Je ne connais pas le dio sur le camp de concentration ! sans faire de la fascination morbide, y'a t'il un lien pour le voir ? |
Si quelqu'un le trouve, prière de le passer par message privé.
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| | petit remarque:
montrer que la guerre est terrible me semble plutot du ressort de l'historien, des musés, des lieux de commémoration.
allez voir le cimmetiere americain de colleville sur mer, c'est rempli d'emotion et pourtant on ne voit ni sang ni cadavre
je ne pense pas qu'un dio de charnier en couleur aurais apporté un plus.
seconde remarque:
comme l'a dit Pascal plus haut, quand on fait une maquette, un dio, c'est pour se faire plaisir ( certains on du l'oublier ) donc si on fait soft dans les mort et les blessés ce n'est pas pour etre politiquement correct, mais psychiatriquement correct.
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| | Qq soit la qualité de réalisation, c'est quand même du sensationnalisme voulu, et morbide de surcroît. Dans le cadre d'un dio
de style gore ou fantasy, ca emporterait les suffrages, mais dans le contexte d'un dio qui se veut réaliste, ça ne peut que choquer, car la dérision est présente. 
Ceci n'est qu'un avis personnel.
Notez que dans des pays comme le Japon, ce genre de réalisation est très prisé!
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| | Franchement bof 
Pour deux raisons: je vous rejoins quant au côté morbide de la scène, j'ai du mal à comprendre les motivations de l'auteur, un peu comme ce diorama qui représentait une exécution sommaire de civils au bord d'une tranchée (il y a un an peut-être, l'auteur était asiatique)
La seconde, je rejoins Pat sur ce point: les invraisemblances de cette scène de combat.
On y trouve des équipages de char entièrement à l'air libre alors que les fantassins se planquent … des morts déjà blafards alors qu'ils viennent seulement d'être touchés … etc, etc.
A part nous choquer, je ne vois pas d'effet dans cette scène …
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| | D'accord avec vous , dio bien réalisé mais goût morbide.
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| | Je ne connais pas le dio sur le camp de concentration ! sans faire de la fascination morbide, y'a t'il un lien pour le voir ?
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| | C'est bien foutu, mais....
C'est d'abord un peu morbide (très nuit des mort-vivants !). Pour présenter un champ de bataille, je n'aurais mis qu'un ou deux cadavres, pas plus. Il faut penser aux gens qui peuvent être choqués !
En plus il y a des invraisemblances. Des gugusses qui se soucient comme d'une guigne d'un char qui passe à quelque centimètres d'eux, au risque de leur tailler un short. L'instinct de conservation les auraient poussés pour prendre un peu de distance tout en le regardant, de peur de perdre un orteil !
De plus, je ne pense pas que dans les cimetières ukrainiens il y ait des statues qu'on retrouverait plutôt dans les pays catholiques comme en France ou en Italie. A ma connaissance, l'art statuaire n'est pas dans la tradition orthodoxe, à part le christ en croix... Et puis, il ne faut oublier que des Bolcheviks sont passés par là pour détruire tout ce qui rappelle la religion....
Enfin, que dire du Fridolin qui a des baccantes bien fournies digne d'un pépère de 14-18 !! Jamais vu ça dans les photos d'époque !!
Patrick 
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| | Du meme avis que vous !!!
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| | Mon opinion est a peu près la même que celle pour le dio représentant un camp de concentration qu'on avait vu il y a quelque temps.
Je part du principe qu'on s'éclate à faire nos maquettes et nos dios et que le gars qui prends son pied à faire des déportés ou des cadavres dans ce cas présent a surement quelques questions à se poser.
Aussi doué soit il (le dio est magnifique), il n'y a aucune justification a ce genre de dio, la caution du réalisme ne peut lui servir d'alibi. Ce gars là a pris du plaisir à représenter des cadavres décomposés et même dans les reconstitions dans les musées, il savent faire preuve de beaucoup plus de pudeur face à la souffrance humaine.
Pascal
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