Comme l\'a précisé Laurent, le sIG 33 (avec son copain l\'IG18) était affecté aux unités d\'infanterie au sens strict ou de Panzergrenadier.
Il n\'y avait plus guère d\'unité hippomobile au sens de "cavalerie" (sauf peut-être les Cosaques de Pawnitz et la Florian Geyer chez les Waffen SS).
Mais une bonne partie des unités non motorisées devaient encore recourir, jusque tard dans la guerre voire jusqu\'en 1945, à la traction hippomobile pour son artillerie ou ses armes lourdes d\'infanterie.
Les unités antichars étaient motorisées dès l\'origine et servaient souvent de réserve mobile pour boucher les trous même en l\'absence de blindés adverses.
De son côté, le train des divisions était largement motorisé pour augmenter ses capacités d\'emport et sa rapidité de livraison, tandis que l\'artillerie pouvait se contenter d\'un mode de propulsion moins moderne. Idem pour les armes d\'infanterie.
Petit rappel : le gros (en poids) des besoins de transport d\'un division concerne les munitions d\'artillerie.
Tant que j\'y suis, n\'oublions pas le célèbre adage "the artillery does most of the killing and the infantry most of the dying".
Par ailleurs, il y a plein de photos de sIG33 derrière des Sd 10.');">
JFF83 a écrit :
le Sig 33 n'était pas en dotation principalement dans les unités hippomobiles? |
Comme l'a précisé Laurent, le sIG 33 (avec son copain l'IG18) était affecté aux unités d'infanterie au sens strict ou de Panzergrenadier.
Il n'y avait plus guère d'unité hippomobile au sens de "cavalerie" (sauf peut-être les Cosaques de Pawnitz et la Florian Geyer chez les Waffen SS).
Mais une bonne partie des unités non motorisées devaient encore recourir, jusque tard dans la guerre voire jusqu'en 1945, à la traction hippomobile pour son artillerie ou ses armes lourdes d'infanterie.
Les unités antichars étaient motorisées dès l'origine et servaient souvent de réserve mobile pour boucher les trous même en l'absence de blindés adverses.
De son côté, le train des divisions était largement motorisé pour augmenter ses capacités d'emport et sa rapidité de livraison, tandis que l'artillerie pouvait se contenter d'un mode de propulsion moins moderne. Idem pour les armes d'infanterie.
Petit rappel : le gros (en poids) des besoins de transport d'un division concerne les munitions d'artillerie.
Tant que j'y suis, n'oublions pas le célèbre adage "the artillery does most of the killing and the infantry most of the dying".
Par ailleurs, il y a plein de photos de sIG33 derrière des Sd 10.
| Non, pas uniquement. Je dirais plus qu'il était en dotation dans les Infanteriegeschutzkompanie des Infanterie-Regiment ou Panzergrenadier Regiment qui manquant de véhicules étaient obligés de recourir aux chevaux pour déplacer ces canons d'infanterie. Cela dit dans les Panzer Division ( en 44 en Normandie ) ils étaient tractés par camion ou bien automoteur, rarement attelés. |
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